Cartes d’élèves : pour protéger l’établissement des intrusions malveillantes

Pour sécuriser au maximum votre établissement, il est important d’identifier rapidement toutes les personnes que vous accueillez : élèves, employés, enseignants, prestataires, parents, etc. D’où la nécessité d’utiliser des cartes d’élèves et des badges pour les employés. La carte est, en effet, un outil précieux permettant de repérer visuellement et de contrôler les flux humains dans votre établissement, aux entrées du bâtiment comme dans les salles. Vous pourrez ainsi limiter les risques d’intrusion. Cette disposition contribue directement à la protection de vos élèves, et par la même occasion, de votre parc de matériel. La carte d’élève est un badge nominatif et personnel. Pour plus de sécurité, il faut y mettre les éléments essentiels d’identification de l’élève :

– nom et prénom
– photo d’identité
– date et lieu de naissance
– niveau d’études
– régime de l’élève (interne, externe, demi-pensionnaire…)
– emplois du temps
– etc.

Différents codes couleur peuvent également être appliqués afin de différencier facilement les cartes selon les niveaux d’études. Il est aussi possible d’ajouter à la carte des systèmes d’encodage tels que :

– des codes-barres pour faciliter la gestion des emprunts à la bibliothèque et l’accès à la cantine de l’établissement.
– une puce sans-contact pour contrôler l’accès à toutes les infrastructures

Quel matériau utiliser pour réaliser les cartes d’élèves ?

Le matériau le plus souvent utilisé pour la fabrication et l’impression de carte d’identité scolaire est le PVC. Cette matière plastique permet la production de cartes solides et résistantes à une utilisation quotidienne et pouvant être utilisées pour plusieurs années. Le PVC permet également l’impression de textes nets et soignés. Bref, pratique, résistante et durable sont les adjectifs les plus adaptés pour décrire la carte d’élèves en PVC. Quant aux couleurs, le PVC blanc est le plus prisé par les établissements scolaires, car il permet diverses possibilités d’impression, de l’overlay à la dorure à chaud en passant par l’hologramme. Son aspect neutre permet d’intégrer toutes les créations graphiques : neutres ou colorées.

Le PVC transparent translucide est également très apprécié, grâce à son design original. Il permet une communication efficace, épurée et élégante. Le PVC transparent est une excellente option pour une carte originale qui marque instantanément l’esprit.

Pour toute fabrication de cartes d’élèves en PVC, trouvez un expert en la matière sur https://www.fiba.fr/produit/carte-eleve/. Toutes les demandes de personnalisation sont possibles avec ce professionnel.

Impression de cartes d’élèves : quelles sont les options de personnalisation possibles ?

Les cartes d’élèves sont tout à fait personnalisables en fonction des besoins de votre établissement scolaire. La plupart des spécialistes de l’impression de cartes d’élèves proposent les options suivantes :

– La perforation : cette option vous semble peut-être classique, mais est toujours appréciée. Vous pouvez choisir une perforation en forme oblongue (qui représente un rectangle à coins arrondis) ou ronde.

– L’overlay : presque tous les établissements scolaires optent pour cette option de personnalisation. Il s’agit d’un adhésif de protection transparent permettant d’éviter l’usure ou l’effacement des textes ou des photos imprimées sur la carte.

– L’ardoisine : il s’agit d’une zone particulière qui permet de compléter manuellement (au feutre ou au stylo à bille) les informations sur la carte élève. Elle peut être réalisée sur le côté recto ou verso, ou encore recto-verso.

– Certains fabricants de cartes d’élèves proposent la fabrication panachée en plusieurs modèles. Cette option permettra aux établissements scolaires de catégoriser les cartes et de favoriser un contrôle visuel rapide et efficace.

– Évidemment, il y a la personnalisation unitaire pour rendre les cartes d’élèves nominatives. Cette option consiste à identifier chacune des cartes avec les informations essentielles de chaque élève : nom, prénom, photos et autres données utiles. Ces informations peuvent être imprimées au recto ou au recto/verso.

Petit conseil : pour limiter la perte des cartes et pour que chaque élève puisse conserver la sienne tout au long de l’année scolaire, il convient de commander des cartes avec une perforation, permettant un accrochage au trousseau de clés, autour du cou, au sac ou au cartable.

Bien choisir l’emplacement du logement

Si vous remplissez les conditions du CROUS, l’idéal serait de réserver un logement au sein d’une résidence étudiante gérée par ce centre. Ce type de résidence se trouve généralement à proximité de votre campus, mais dispose également du confort et d’endroits idéals où vous pourrez vous divertir sans sortir trop loin de votre campus universitaire. Il existe aussi des résidences étudiantes privées. Elles sont généralement proches des universités et des grandes écoles.
Vous pouvez aussi envisager la location d’un studio ou d’un appartement T1. La colocation est une option que vous pouvez également choisir. Vous pouvez chercher dans les annonces si ce type d’offre est proposé. Mais là encore, il faut voir et bien lire les conditions de colocation avant de s’y lancer. Vous pouvez aussi repérer un logement assez grand pour prévoir la colocation.
Quel que soit le type de logement que vous choisirez, vous devez bien choisir son emplacement. C’est le premier point indispensable à voir. Il est important que ce dernier soit situé à proximité de votre école ou université. Si ce n’est pas possible, vous pouvez choisir une autre localisation. Elle doit être bien desservie par le transport en commun. Faites également en sorte d’opter pour un logement qui se situe à proximité de commerces en tout genre et même d’endroits où vous pourrez vous distraire (terrain de sport, bibliothèque, centre culturel, etc.).

Bien contrôler l’état de l’habitation

Avec les sites comme https://www.studapart.com/fr/logement-etudiant, vous avez pu trouver 2 ou 3 logements qui vous intéressent. Maintentent, faites une visite des lieux. C’est une étape primordiale pour constater, de visu, l’état du logement et de voir s’il correspond vraiment à vos attentes. En effet, les photos dans les annonces peuvent ne pas refléter la réalité. Il ne faut donc pas s’y fier. Idéalement, faites la visite des lieux au moment où des résidents sont encore présents dans le logement. Cela vous permettra de voir dans les détails l’aspect du logement et de vous y projeter. Le weekend ou en fin de journée est l’idéal. Si le logement vous intéresse, avant de signer le contrat de location, veillez à demander à mettre aux normes le logement s’il ne l’est pas. Préférez également un endroit calme où vous aurez la possibilité de travailler en toute tranquillité.

Choisir l’université, passer les tests, demander son visa…

Aux États-Unis, on compte plus de 4 000 universités et il faut d’abord commencer par choisir l’université dans laquelle vous voulez poursuivre vos études. Au dépôt de la candidature, on peut vous demander des frais de dossier, ce qui est tout à fait normal. Ces frais peuvent être à la suite remboursés si vous êtes admis. Notez également que les tests pour l’entrée à l’université américaine se font des mois, voire un an avant votre départ. Une fois que votre admission est validée, vous ne devez plus attendre pour demander votre visa. Il faut le faire le plus tôt possible, car le délai d’obtention peut aller jusqu’à 2 mois.

Passer les tests d’admissions de l’université

L’admission à une université aux États-Unis se fait par des tests. C’est souvent entre octobre et novembre que les universités font passer les tests pour la rentrée universitaire suivante. Notez bien que pour arriver jusqu’aux tests d’admissions, l’université peut vous demander d’effectuer certaines formalités. Lorsque vous faites votre inscription, renseignez-vous des démarches à suivre jusqu’à ce qu’on valide votre admission.

S’atteler à la préparation des formalités administratives

Comme il a été déjà cité ci-dessus, partir étudier aux États-Unis demande un visa. Pour préparer ce dossier, il faut d’abord que vous soyez accepté dans une université américaine. Celle-ci vous enverra par la suite un formulaire spécial pour que vous puissiez faire votre demande de visa. Pour les étudiants c’est le visa F1 qu’il faut avoir et pour ceci, vous devez remplir le formulaire DS-156, le formulaire DS-157 si vous êtes un homme entre 16 et 45 ans et le formulaire DS-158 pour les bisa F ou J. Ce visa F1 ne vous autorisera pas à travailler sur le territoire américain, ce qui fait que vous devez justifier que vous pouvez payer vos études sans avoir à travailler.

L’anglais

L’anglais est une langue parlée dans presque tous les pays du monde. Souvent, la maitrise de l’anglais est exigée dans le monde professionnel, surtout si votre métier fait que vous ayez besoin de côtoyer du monde et des entreprises étrangères. En tant que première langue mondiale, et avec la hausse du chômage structurel, parler l’anglais est donc primordial si vous voulez mettre toutes les chances de votre côté et vous créer d’autres opportunités. Au-delà de cet aspect indispensable dans le domaine pro, tout le monde est aussi d’accord sur le fait que l’anglais s’apprend très facilement. Étant donc « la langue internationale par excellence », faire l’impasse sur l’anglais va fortement pénaliser votre CV et votre carrière professionnelle. Pour améliorer votre anglais professionnel, dans ce cas, vous avez deux options, soit prendre des cours particuliers (à domicile ou en ligne), ou bien vous aventurer pour un séjour linguistique, qui va vous forcer à l’utiliser quotidiennement, et donc d’apprendre plus rapidement.

Le chinois et spécifiquement, le mandarin

Parler chinois, mais surtout le mandarin, va vous ouvrir les portes dans le monde des affaires. La Chine étant un super puissance, un leader dans le commerce international, et le principal promoteur de l’économie mondiale, elle est aujourd’hui, un axe économique mondial incontournable. De ce fait, apprendre le mandarin va vous ouvrir les portes vers de nouvelles perspectives. Parfaire votre chinois des affaires va aussi, vous permettre de mieux communiquer et interagir avec des partenaires chinois. Cependant, apprendre cette langue va vous demander beaucoup de temps et beaucoup d’énergies. Cette langue est connue pour être difficile à parler, mais surtout à écrire, même si elle n’a ni conjugaison ni grammaire. Pour arriver à une maitrise parfaite du mandarin, vous allez devoir vous donner à 100 % et y investir le temps qu’il faut. Et avec presque 1 milliard de personnes qui parlent mandarin, vous aurez un atout majeur en votre possession pour percer dans le monde des affaires.

L’espagnol

L’espagnol est une langue relativement facile à apprendre pour les francophones. Elle est aussi la 3e langue la plus parlée dans le monde. Le français, l’italien et l’espagnol sont assez similaires, même si on compare les règles de conjugaison. Choisir d’apprendre l’espagnol est une belle façon de faire d’une pierre deux coups et de faciliter l’apprentissage d’une de ces deux autres langues dans le futur. Comme elle est parlée dans 21 pays et considérée comme une langue officielle, l’espagnol va vous permettre de faciliter vos voyages d’affaires, surtout dans les pays hispaniques. Si vous travaillez dans le domaine du tourisme, du journalisme, du commerce ou encore de l’immobilier, une maitrise parfaite de cette langue vous sera essentielle dans votre travail. Et si vous décidez de sauter le pas, de vivre votre « american dream », parler cette langue va vous ouvrir les portes aux USA, car c’est la 2e langue officielle dans ce pays, après l’anglais bien sûr !